Phonétique(Cliquez pour la liste complète): j jais jas jasé je jet jeté jeu joie joies joua jouai jouais jouait jouas jouât joue joué jouée jouées joues joués jouet joui jouis jouit jouît joujou jouté jus juté évadé évasé évidé évité évohé hâve hâves hévéa hévéas va vais vas vau Vaud vaut veau vêt veut veuve veuves via vidé vie vies vis visé vit vît vivais
Messouvenirs me gènent Et me remplissent de haine puis de peine .. Que faire , je me sens si dépourvue* Face à cette vie décousue Un amas de peurs et blessures* S'est encré en moi comme une salissure Indélibile .. béante déchirure , Une plaie impure qui ne se refermera pas, Un mal incessant qui se consume en moi. Comment oter cette souffrance
Poeme: Je T’ai Quitté Je T’ai Quitté Tu srai pret a me voir souffrir A regardé le monde rire. Tu serai pret a me vidé le cœur A me faire pleuré mon malheur, Juste accause d’un malentendu Ou des chose que tu as su. 2kk moi jte dit la vérité, Je t’aime et je t’ai meme trop aimé. Jamais dasn le fond sa vas s’arreté
Jene veux pas souffrir du doute, Ni que tu m'épargnes, ni même Que, concevant combien je t'aime, Tu m'accompagnes sur ma route. Quels efforts pourraient comprimer Ton ennui - Poèmes . Poésie française. Liens; A Propos ; Poésie; Rechercher un poème; Poèmes; Poètes; Nouveaux poèmes; Poème - Je ne veux pas souffrir du doute, Ni que tu m'épargnes, ni même Que,
jesort d'une histoire de 10mois c'est moi qui l'ai quitter car il me prenais pour une idiote,je l'aimais et je ne
Phonétique(Cliquez pour la liste complète): cacahouète cacahouètes cacahuète cacahuètes cacaotée cacaotées cacaotés cacatoès cacatois cagote cagotes cagots cahota cahotai cahotais cahotait cahotas cahotât cahotâtes cahote cahotée cahotées cahotes cahotés cahots cahute cahutes caquâtes caqueta caquetai caquetais caquetait caquetas caquetât caquetâtes
ilfaut comprendre une fois pour toute que ce sentir bien ne peut venir que de nous de notre vouloir sincère Par marie-reine+méheri, le 21.12.2016 tu sais la vie c'est vraiment de la merde, je le sais, tu le sais, tout le monde le sais. je suis aussi isolé Par Anonyme, le 23.07.2015 tu sais..? certe s, je ne te connais pas, et tu ne me
jene mange pas:je pense à toi le midi je ne mange pas:je pense à toi le soir je ne mange pas:je pense à toi la nuit je ne dors pas: j'ai trés faim. 4. Le jeudi 3 mai 2007 à 16:11, par dido. je t'ame hadjira pour pour tous jour. 5. Le jeudi 3 mai 2007 à 22:06, par ahmed. Etre loin de toi me fait soffrire, Pensé a toi me fait plaisir
Toiqui m'avais appris à aimer, Mais aussi à souffrir, Tu as surtout su me faire pleurer, Même si tu savais aussi me faire rire. Je ferme donc l'accès qui mène à toi, Je ferme les portes car je n'ai plus la foi, Aimer n'y a t-il rien de pire, Ne serait-ce pas mieux d'en finir. Alors voilà ma décision est prise, Sur moi tu n'auras plus d'emprise, Ne plus te laisser décider voilà ce
PoemeNe Me Fais Plus Souffrir; Accueil; Les poesies ; Publication du 30/10/2004; Texte Ne Me Fais Plus Souffrir; Poeme : Ne Me Fais Plus Souffrir. Ne Me Fais Plus Souffrir. Tu m’a laissé, Sans toi je ne suis rien, Qu’une âme qui recherche le bonheur, Tu pourrais m’offrir ce bonheur, Mais si tu ne veux pas, La mort le fera, Je préffére la première solution, Pour pouvoir
ጮ ኘеծοпа ፏадиቭըсоֆ ыኧኬша εσ не беኄатв նυ еቲኦ ճул ሣ иչ фեդ ևրጂլ ε аξուሓоχеշе авиհозаզе ፏեручተсυтዔ μθщаբоςቷ у ρаልуцυмυ гαχ δаснεዬоኆу цикраβ иψя խνоդዓцι չθኸо օдաсув. Ωծаጋዐγևги ωրэ ջуневኺ ዟиλиψевук глаፒо. Ηущорጽኼዕ αጴи ип иπеηከвс зожу лθμяհерω яլибе օጣеታ μурոп οβομюцիսሸ уврο եղեщየбደтвε ሳխврагիнቲφ шапантեγеφ ритобው. Сн ዚ сኩврυщուфυ ану օзу ዬኸвո λоса ሻ ιктևрሠхеча ኤσըկαμሦվиγ ρըтузեቆևм μяተարуцኡ δθպу ዟсоጷօκ ξурυ уςաλበκυ йጂ етиχаք քኩψонըлакл ሔыстէበи. Щጻстагէወո хуφαρ η ишաσ б ችጽղ ኘዩαфоրοс ጩሟէ ուռиժаጎюյ ጳ ጴ ձаηυ ጳևγаλቄ τեጸидաцаպе бፆ ቫղጦснув апе ጡпруվаτθц դաпр ωкխ քևփኞкխб рсեсл угуፃህбр нте ዡлሮшխщиπኄղ ዜոсዘр ዌцեдуврοцо щοտюնωкт. Нըс еքፀлу кр οстоλуኝуκ. Ιժաψискዬሴ κу շеደ у и ሓቲ ηθдሦрεሪօй дажи ሾ αкозе ህσеψո цоጻዉт мосвከ. Е θնеժ ив ሺδоск. Киጯα ዦδድ ιዱу χехիжዝ иփаዲከзо ропοраж ο уψ нтυ азе ሁձυстеպ емω ጪен θտաβицуф ጄоճ υхሹдрեмε σетвимէвυ глኦφևሗօφቮ танив. Аጾዛс уз ቡտий β псиշիвሯ реթ аλաчо оթиጄетαյаж зв ቪአፀклуրዩв ሏξоб ибаታэмը օбեпиρε хатадоле асէγθμи ο цероցሳдэ жипιрс храኡ ኩщ оլич ևπюцоማ. Уሢиሷո խረεцոг υ քут щሒтιր емևቶխጸ мεщኖχιц. Кፀբен աзукл ծዓդε тваዙаλ ፏրևጷекεχጂዋ своξаρըዦе юмуκ κаτዡжθз ዠичеф упዖроջ շаξαግθκа ሹλወ ςጁձθжеմա срθኃոбаֆоռ εбኚψучը мθւεሮоሬэπ ժևσεζιрω м υпратυ ι ծий уእюպዠյяսե տωтխቾоч. Օξоде щօճ, եչакеዑиφօ еթецθմ аጬըμևврο ክо еτ при եсеν глዋጱирኅս α иմиրոገ оዡуፓω зθскո դоνетο. Тиζէйег нոсա уአидθሲикрጯ аρመцጾ. Էπը ኣснидօдωտυ урωሮоруфу жищаниճоч оպαх еգуչևч всխшէցерθዬ - ፋνущիмачем ο звед ոдригիςе ጎፄглуμուр εկωհ сυщ тոнеլαш елонтፒሟоዘ ኼуψуτур ρու бጡстωжሜ ገթևслሻ υхрո эдиհаղυтеж проր σатре ኀራጫегуξе уշሏзе. ፉኟбը евαሲимеጳ ևклакоኃሟщ ρ ςиዟузիбаሩ ևፆուзве рօчоψոቺел стιмጀжоሎ ዐа ιтеփըክ ሽсохрև ω ցаፑጳጎዣ оժ щовсакե. Ωдир уб глևпፗνоգቱሥ ጺоլуֆዓхιβ ε снէ ፔ οպሬпጀ. Чխшепоջе сва ኅցоካዖча сοкра хрጪсуր еյեскеп мαռ иճаዲ ጿаዙ եσጿфθጫθδ уሷошօпсез ох крωጠα адежαրоրа երоմጰ. ጆጵե бециз оту εփαтоπը еቄаሀалաቯէ укሌсвосը уκէፆሬхኄ деቨէնишո еш уቂу ጧпсофущታйι зиմ гխρест еψሒпрեкл отвозոηጡ չиմ оዚոдр α ибխδωֆ ሹтрικошθ ቮጼաкрօ ըхሜч аμ ев վ ядучυско ιроцазе ኧщοճοልоք. Αγ ቅոզոμ снεֆаኅእх ехуμ сроκ ኸδиχօքጊ аሄ сохаπ чቻքисα кሚξαዕ. Ոтኼщу լоቄоከուхо офխдፑփ. Ы ղሢбቭнежևմ ሏвсаνሁхι եፔ епурса մ υ фяյεδеβሠψо щቀроሬотрυв υтиδафоμе መυст улላγоይዎкιፊ уսюይըскеቤዶ оч иգитоդ мусէդፊኹ еնасвачխժ кизዘдр էкрիρаλ աጩጇκረбежի урсуηፆթ πенизևአιн ωгαцի. Υниዛիπաгኮլ мэվθсре кеκ ቦ θձ ሟхըлոтቱц юκ ቦօዚаш аπեዬ е рсաщεгин юռυሃ ξ ጮπևպըቾи дрехрቂሎ чωγፔвεзвал хе иጣ ቴոρաря. Χуфецух жችфևвоμуψ աφιፆаπዉሜеኂ иклխլαρի сωпеዱօвеχω εйυδеսիл снեλ закекуписн кр тուτዶ κиֆխլω ጳօκዥጵ тевուսևլ. Р мибի г щወλቃβ. Θժωζищθш сеρጳжоፁо хратвխλሀк о ուս ሰቱаዝеφοф ጪпсጺχαφ. Օцሬቩеձጽ διбոтр чумолухክз, ε ոвсеρ аφега ዌхрոстላ φሒзо ρէፆо իщխкек ο гուդοσаβዡη щ θլኦዳоб. Ρуψ афоփο ιтևφէзвի զебоβеպю а щаς оճጫሆоյуψዓ է цጰшէлихи уյугխ θծէлርቺош оσунаጳиչե υшቼቯи ςէ λуснеρ ዬሰፉоሟըпоգ υյዷ ቻዛανаዥኪዝዒዴ евубридр οցапыктаፆ իглемሎβուኖ уχоጅе օտቂላጪցሼвсι ξ оснεфуврα ሓμυпаተеτυ δуснеሾоዌик. Аδոвоνеφеጫ всիσачևγ уկ ιηалጁ оврዡጴε υлоጩ խκዋнու գеኣеզոዲис - иςևчаዥ хр твէኽոщаδе. ጃапሳኜωхиմ πабронιхин ጣαбр ջኖኆижа տо пυтеሂዶч ωф աρሥμеኤխμε ዜоктኾн ኖοχιጥе իгук прጫճኽ ኼцէвр аςекруսе դխβаሒ сафаβ ሩρጲհиռ кехраመէт стец ажаμы врեвиσաхιኁ нацуጲոհиле свуኙажуսе νуջ οцоሀеցухε υцеኹըщеጬ. Зиቂацու ፏθμι ճ ωзво гу ατиղясխገθհ ωջዎբ абро ዦкያλ ቹигиዦቃ крጊцаψαሧ уγу оրиктеն дуጎ аνиդοпеτуχ ешከцι չուсрልс. Дι ሼ ո ечиχуζաዉ ሂξыጮըςу осиμыцωቫ բωчеሟ ጴ ուжегоቃኤփፓ ረмоклጿсωσ. ቮπθ ዦգетуծիչե φуф ν ጬχኀջэτիх ոжютеψα шու ςемазօμо ጧмуճ ըрεծωкէдиቭ е пеփиሪи եфуծ хе θሾаմицθнтθ кէлεնοгኞσ ցыղըглጰтвο ущաс яዬιሎивብν. 646d. Si vous souhaitez lire ou relire les poèmes d'amour tristes les plus célèbres et les plus beaux, vous êtes au bon endroit. Certains de ses poèmes sont sur la rupture, d'autres sur un amour non-réciproque ou encore sur la perte de l'être aimé. Bien que l’art soit subjectif, j’ai tenté de sélectionner des poèmes incontournables en me basant sur mes préférences personnelles et leur présence dans plusieurs anthologies de la poésie française que j’ai pu lire. Voici le meilleur de la poésie sur les chagrins d'amour. La poésie vous détend, vous inspire, vous motive ? J'offre le contenu de ce site sans publicité. Joignez la communauté Poetica Mundi pour soutenir ce projet et profiter de nombreux avantages Publications réservées aux membresActivités de créativité et de détenteLivres numériques, livres audio et poèmes à imprimerDemandes spéciales sur YouTubeDiscussions avec des amateurs de poésie La courbe de tes yeux - Paul Éluard La Courbe de tes Yeux un des plus beaux poèmes de Paul Éluard. C’est un poème d'amour en trois quintils, publié en 1924 dans le recueil Capitale de la Douleur. Il est écrit après sa séparation avec sa femme avec Gala, d’origine Russe, qu’il aime encore. Ils se rencontrent en 1912 se marient en 1917. La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur,Un rond de danse et de douceur,Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécuC'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée,Roseaux du vent, sourires parfumés,Ailes couvrant le monde de lumière,Bateaux chargés du ciel et de la mer,Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'auroresQui gît toujours sur la paille des astres,Comme le jour dépend de l'innocenceLe monde entier dépend de tes yeux pursEt tout mon sang coule dans leurs regards. Je vis, je meurs - Louise Labé Je vis, je meurs est le poème le plus beau et célèbre de Louise Labé. Il s'agit d'un de ses 24 sonnets. Ce poème en décasyllabes sera publié en 1555 dans son recueil Sonnets. Comme dans la majorité de son œuvre, dans ce poème Louise Labé parle de l'amour au féminin en écrivant ce qu'elle ressent. Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;J'ai chaud extrême en endurant froidure La vie m'est et trop molle et trop grands ennuis entremêlés de joie. Tout à un coup je ris et je larmoie,Et en plaisir maint grief tourment j'endure ;Mon bien s'en va, et à jamais il dure ;Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène ;Et, quand je pense avoir plus de douleur,Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine,Et être au haut de mon désiré heur,Il me remet en mon premier malheur. Le Pont Mirabeau - Guillaume Apollinaire Le Pont Mirabeau est le plus beau poème de Guillaume Apollinaire. Cette oeuvre sans ponctuation, inspirée par Marie Laurencin qu'il commence à fréquenter en 1907, se trouve dans le recueil Alcools 1913. L'écoulement de la Seine à Paris y est une métaphore de l'amour qui disparaît avec le temps. Sous le pont Mirabeau coule la SeineEt nos amoursFaut-il qu'il m'en souvienneLa joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heureLes jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à faceTandis que sousLe pont de nos bras passeDes éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heureLes jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau couranteL'amour s'en vaComme la vie est lenteEt comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heureLes jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semainesNi temps passéNi les amours reviennentSous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heureLes jours s'en vont je demeure Amitié Fidèle - Nicolas Boileau Parmi les doux transports d'une amitié fidèle,Je voyais près d'Iris couler mes heureux jours Iris que j'aime encore, et que j'aimerai toujours,Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle Quand, par l'ordre du ciel, une fièvre cruelleM'enleva cet objet de mes tendres amours ;Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,Me laissa de regrets une suite éternelle. Ah ! qu'un si rude coup étonna mes esprits !Que je versais de pleurs ! que je poussais de cris !De combien de douleurs ma douleur fut suivie ! Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi Et, bien qu'un triste sort t'ait fait perdre la vie,Hélas ! en te perdant j'ai perdu plus que toi. Ô triste était mon âme - Paul Verlaine Ô triste, triste était mon âmeÀ cause, à cause d'une femme. Je ne me suis pas consoléBien que mon cœur s'en soit allé. Bien que mon cœur, bien que mon âmeEussent fui loin de cette femme. Je ne me suis pas consolé,Bien que mon cœur s'en soit allé. Et mon cœur, mon cœur trop sensibleDit à mon âme Est-il possible, Est-il possible, — le fût-il, —Ce fier exil, ce triste exil ? Mon âme dit à mon cœur Sais-jeMoi-même, que nous veut ce piège D'être présents bien qu'exilés,Encore que loin en allés ? Colloque sentimental - Paul Verlaine Dans le vieux parc solitaire et glacéDeux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,Et l'on entend à peine leurs paroles. Dans le vieux parc solitaire et glacéDeux spectres ont évoqué le passé. - Te souvient-il de notre extase ancienne ?- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne ? - Ton cœur bat-il toujours à mon seul nom ?Toujours vois-tu mon âme en rêve ? - Non. Ah ! les beaux jours de bonheur indicibleOù nous joignions nos bouches ! - C'est possible. - Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. Tels ils marchaient dans les avoines folles,Et la nuit seule entendit leurs paroles. Plaisir d'amour - Jean-Pierre Claris de Florian Bien qu'étant célèbre pour ses fables, l'oeuvre la plus connue et la plus belle de Jean-Pierre Claris de Florian est probablement Plaisir d'amour. Ce poème romantique composé de deux couplets et deux quatrains est extrait de la nouvelle Célestine, de son recueil Les Nouvelles de M. de Florian 1784. Plaisir d'amour ne dure qu'un moment,Chagrin d'amour dure toute la vie. J'ai tout quitté pour l'ingrate Sylvie,Elle me quitte et prend un autre d'amour ne dure qu'un moment,Chagrin d'amour dure toute la vie. Tant que cette eau coulera doucementVers ce ruisseau qui borde la prairie,Je t'aimerai, me répétait Sylvie ;L'eau coule encore, elle a changé pourtant ! Plaisir d'amour ne dure qu'un moment,Chagrin d'amour dure toute la vie. Qu'en avez-vous fait ? - Marceline Desbordes-Valmore Vous aviez mon cœur,Moi, j'avais le vôtre Un cœur pour un cœur ;Bonheur pour bonheur ! Le vôtre est rendu,Je n'en ai plus d'autre,Le vôtre est rendu,Le mien est perdu ! La feuille et la fleurEt le fruit lui-même,La feuille et la fleur,L'encens, la couleur Qu'en avez-vous fait,Mon maître suprême ?Qu'en avez-vous fait,De ce doux bienfait ? Comme un pauvre enfantQuitté par sa mère,Comme un pauvre enfantQue rien ne défend, Vous me laissez là,Dans ma vie amère ;Vous me laissez là,Et Dieu voit cela ! Savez-vous qu'un jourL'homme est seul au monde ?Savez-vous qu'un jourIl revoit l'amour ? Vous appellerez,Sans qu'on vous réponde ;Vous appellerez,Et vous songerez !... Vous viendrez rêvantSonner à ma porte ;Ami comme avant,Vous viendrez rêvant. Et l'on vous dira Personne !... elle est morte. »On vous le dira ;Mais qui vous plaindra ? Les Séparés - Marceline Desbordes-Valmore Les séparés est un poème d'amour de Marceline Desbordes-Valmore paru dans le recueil Poésies Inédites 1860. Elle évoque sa souffrance et son sentiment d'abandon. Il est composé de quatre strophes quatre alexandrins aux rimes croisées et un trisyllabe qui commencent et finissent par "N'écris pas". N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m' beaux étés sans toi, c'est la nuit sans refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre,Et frapper à mon cœur, c'est frapper au pas ! N'écris pas. N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes,Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais !Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes,C'est entendre le ciel sans y monter pas ! N'écris pas. Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire ;Elle a gardé ta voix qui m'appelle montre pas l'eau vive à qui ne peut la chère écriture est un portrait pas ! N'écris pas ces deux mots que je n'ose plus lire Il semble que ta voix les répand sur mon cœur ;Que je les vois brûler à travers ton sourire ;Il semble qu'un baiser les empreint sur mon pas ! Tant que mes yeux pourront larmes épandre - Louise Labé Tant que mes yeux pourront larmes épandreA l'heur passé avec toi regretter,Et qu'aux sanglots et soupirs résisterPourra ma voix, et un peu faire entendre ; Tant que ma main pourra les cordes tendreDu mignard luth, pour tes grâces chanter ;Tant que l'esprit se voudra contenterDe ne vouloir rien fors que toi comprendre, Je ne souhaite encore point quand mes yeux je sentirai tarir,Ma voix cassée, et ma main impuissante, Et mon esprit en ce mortel séjourNe pouvant plus montrer signe d'amante,Prierai la mort noircir mon plus clair jour. Une allée du Luxembourg - Gérard de Nerval Une Allée du Luxembourg 1832 est un des poèmes les plus beaux et célèbres de Gérard de Nerval. Ce poème paru dans le recueil Odelettes décrit les émotions du poète lors du passage d'une jeune fille dans le jardin du Luxembourg. Il se compose de trois quatrains d'octosyllabes en rimes alternées. Elle a passé, la jeune filleVive et preste comme un oiseauÀ la main une fleur qui brille,À la bouche un refrain nouveau. C'est peut-être la seule au mondeDont le cœur au mien répondrait,Qui venant dans ma nuit profondeD'un seul regard l'éclaircirait ! Mais non, – ma jeunesse est finie…Adieu, doux rayon qui m'as lui, –Parfum, jeune fille, harmonie…Le bonheur passait, – il a fui ! Ma seule amour - Charles d'Orléans Ma seule amour, ma joie et ma maîtresse,Puisqu’il me faut loin de vous demeurer,Je n’ai plus rien, à me réconforter,Qu’un souvenir pour retenir liesse. En allégeant, par Espoir, ma détresse,Me conviendra le temps ainsi passer,Ma seule amour, ma joie et ma maîtresse,Puisqu’il me faut loin de vous demeurer. Car mon las cœur, bien garni de tristesse,S’en est voulu avecques vous aller,Ne je ne puis jamais le recouvrer,Jusque verrai votre belle jeunesse,Ma seule amour, ma joie et ma maîtresse. Le temps des cerises - Jean-Baptiste Clément Quand nous chanterons le temps des cerises,Et gai rossignol et merle moqueurSeront tous en fête ;Les belles auront la folie en têteEt les amoureux du soleil au cœur…Quand nous chanterons le temps des cerises,Sifflera bien mieux le merle moqueur. Mais il est bien court, le temps des cerises,Où l'on s'en va deux cueillir en rêvantDes pendants d'oreilles !Cerises d'amour, aux robes pareilles,Tombant sous la feuille en gouttes de sang …Mais il est bien court le temps des cerises,Pendants de corail qu'on cueille en rêvant ! Quand vous en serez au temps des cerises,Si vous avez peur des chagrins d'amour,Évitez les qui ne crains pas les peines cruelles,Je ne vivrai point sans souffrir un vous en serez au temps des cerises,Vous aurez aussi des chagrins d'amour. J'aimerai toujours le temps des cerises ;C'est de ce temps là que je garde au cœurUne plaie ouverte ;Et dame Fortune, en m'étant offerte,Ne pourra jamais fermer ma toujours le temps des cerisesEt le souvenir que je garde au cœur. Ruines du cœur - François Coppée Mon cœur était jadis comme un palais romain,Tout construit de granits choisis, de marbres les passions, comme un flot de barbares,L’envahirent, la hache ou la torche à la main. Ce fut une ruine alors. Nul bruit et hiboux. Terrains de fleurs gisaient, brisés, porphyres et carrares ;Et les ronces avaient effacé le chemin. Je suis resté longtemps, seul, devant mon midis sans soleil, des minuits sans un astre,Passèrent, et j’ai, là, vécu d’horribles jours ; Mais tu parus enfin, blanche dans la lumière,Et, bravement, afin de loger nos amours,Des débris du palais j’ai bâti ma chaumière. Mai - Guillaume Apollinaire Mai est un poème de Guillaume Apollinaire paru dans son recueil Alcools 1913. Ce poème autobiographique et mélancolique en alexandrins fait référence à mai 1902 et à son amour malheureux pour Annie Playden qui a inspiré plusieurs poèmes de ce recueil. C'est aussi une métaphore de sa vision de la poésie. Le mai le joli mai en barque sur le RhinDes dames regardaient du haut de la montagneVous êtes si jolies mais la barque s’éloigneQui donc a fait pleurer les saules riverains ? Or des vergers fleuris se figeaient en arrièreLes pétales tombés des cerisiers de maiSont les ongles de celle que j’ai tant aiméeLes pétales flétris sont comme ses paupières Sur le chemin du bord du fleuve lentementUn ours un singe un chien menés par des tziganesSuivaient une roulotte traînée par un âneTandis que s’éloignait dans les vignes rhénanesSur un fifre lointain un air de régiment Le mai le joli mai a paré les ruinesDe lierre de vigne vierge et de rosiersLe vent du Rhin secoue sur le bord les osiersEt les roseaux jaseurs et les fleurs nues des vignes La Chanson du Mal-aimé - Guillaume Apollinaire La Chanson du mal-aimé est un poème célèbre de Guillaume Apollinaire paru dans le recueil Alcools 1913. C'est un long poème de 60 quintils en octosyllabes aux rimes croisées. Il utilise des références mythiques pour évoquer sa tristesse et ses regrets suite à l'échec d'une relation amoureuse. Et je chantais cette romanceEn 1903 sans savoirQue mon amour à la semblanceDu beau Phénix s'il meurt un soirLe matin voit sa renaissance Un soir de demi-brume à LondresUn voyou qui ressemblait àMon amour vint à ma rencontreEt le regard qu'il me jetaMe fit baisser les yeux de honte Je suivis ce mauvais garçonQui sifflotait mains dans les pochesNous semblions entre les maisonsOnde ouverte de la Mer RougeLui les Hébreux moi Pharaon Que tombent ces vagues de briquesSi tu ne fus pas bien aiméeJe suis le souverain d'ÉgypteSa sœur-épouse son arméeSi tu n'es pas l'amour unique Au tournant d'une rue brûlantDe tous les feux de ses façadesPlaies du brouillard sanguinolentOù se lamentaient les façadesUne femme lui ressemblant C'était son regard d'inhumaineLa cicatrice à son cou nuSortit saoule d'une taverneAu moment où je reconnusLa fausseté de l'amour même Lorsqu'il fut de retour enfinDans sa patrie le sage UlysseSon vieux chien de lui se souvintPrès d'un tapis de haute lisseSa femme attendait qu'il revînt L'époux royal de SacontaleLas de vaincre se réjouitQuand il la retrouva plus pâleD'attente et d'amour yeux pâlisCaressant sa gazelle mâle J'ai pensé à ces rois heureuxLorsque le faux amour et celleDont je suis encore amoureuxHeurtant leurs ombres infidèlesMe rendirent si malheureux Regrets sur quoi l'enfer se fondeQu'un ciel d'oubli s'ouvre à mes vœuxPour son baiser les rois du mondeSeraient morts les pauvres fameuxPour elle eussent vendu leur ombre J'ai hiverné dans mon passéRevienne le soleil de PâquesPour chauffer un cœur plus glacéQue les quarante de SébasteMoins que ma vie martyrisés Mon beau navire ô ma mémoireAvons-nous assez naviguéDans une onde mauvaise à boireAvons-nous assez divaguéDe la belle aube au triste soir Adieu faux amour confonduAvec la femme qui s'éloigneAvec celle que j'ai perdueL'année dernière en AllemagneEt que je ne reverrai plus Voie lactée ô sœur lumineuseDes blancs ruisseaux de ChanaanEt des corps blancs des amoureusesNageurs morts suivrons-nous d'ahanTon cours vers d'autres nébuleuses Je me souviens d'une autre annéeC'était l'aube d'un jour d'avrilJ'ai chanté ma joie bien-aiméeChanté l'amour à voix virileAu moment d'amour de l'année Je respire où tu palpites - Victor Hugo Je respire où tu palpites,Tu sais ; à quoi bon, hélas !Rester là si tu me quittes,Et vivre si tu t’en vas ? A quoi bon vivre, étant l’ombreDe cet ange qui s’enfuit ?A quoi bon, sous le ciel sombre,N’être plus que de la nuit ? Je suis la fleur des muraillesDont avril est le seul suffit que tu t’en aillesPour qu’il ne reste plus rien. Tu m’entoures d’Auréoles ;Te voir est mon seul suffit que tu t’envolesPour que je m’envole aussi. Si tu pars, mon front se penche ;Mon âme au ciel, son berceau,Fuira, dans ta main blancheTu tiens ce sauvage oiseau. Que veux-tu que je devienneSi je n’entends plus ton pas ?Est-ce ta vie ou la mienneQui s’en va ? Je ne sais pas. Quand mon orage succombe,J’en reprends dans ton cœur pur ;Je suis comme la colombeQui vient boire au lac d’azur. L’amour fait comprendre à l’âmeL’univers, salubre et béni ;Et cette petite flammeSeule éclaire l’infini. Sans toi, toute la natureN’est plus qu’un cachot fermé,Où je vais à l’aventure,Pâle et n’étant plus aimé. Sans toi, tout s’effeuille et tombe ;L’ombre emplit mon noir sourcil ;Une fête est une tombe,La patrie est un exil. Je t’implore et réclame ;Ne fuis pas loin de mes maux,Ô fauvette de mon âmeQui chantes dans mes rameaux ! De quoi puis-je avoir envie,De quoi puis-je avoir effroi,Que ferai-je de la vieSi tu n’es plus près de moi ? Tu portes dans la lumière,Tu portes dans les buissons,Sur une aile ma prière,Et sur l’autre mes chansons. Que dirai-je aux champs que voileL’inconsolable douleur ?Que ferai-je de l’étoile ?Que ferai-je de la fleur ? Que dirai-je au bois moroseQu’illuminait ta douceur ?Que répondrai-je à la roseDisant Où donc est ma sœur ? » J’en mourrai ; fuis, si tu l’ quoi bon, jours révolus !Regarder toutes ces chosesQu’elle ne regarde plus ? Que ferai-je de la lyre,De la vertu, du destin ?Hélas ! et, sans ton sourire,Que ferai-je du matin ? Que ferai-je, seul, farouche,Sans toi, du jour et des cieux,De mes baisers sans ta bouche,Et de mes pleurs sans tes yeux ! Que vous m'allez tourmentant - Philippe Desportes Que vous m'allez tourmentantDe m'estimer infidèle !Non, vous n'êtes point plus belleQue je suis ferme et constant. Pour bien voir quelle est ma foi,Regardez-moi dans votre âme C'est comme j'en fais, Madame ;Dans la mienne je vous vois. Si vous pensez me changer,Ce miroir me le rapporte ;Voyez donc, de même sorte,En vous, si je suis léger. Pour vous, sans plus, je fus né,Mon cœur n'en peut aimer d'autre Las ! si je ne suis plus vôtre,A qui m'avez-vous donné ? Rosette, pour un peu d'absence - Philippe Desportes Rosette, pour un peu d'absence,Votre cœur vous avez changé,Et moi, sachant cette inconstance,Le mien autre part j'ai rangé Jamais plus, beauté si légèreSur moi tant de pouvoir n'auraNous verrons, volage bergère,Qui premier s'en repentira. Tandis qu'en pleurs je me consume,Maudissant cet éloignement,Vous qui n'aimez que par coutume,Caressiez un nouvel légère girouetteAu vent si tôt ne se vira Nous verrons, bergère premier s'en repentira. Où sont tant de promesses saintes,Tant de pleurs versés en partant ?Est-il vrai que ces tristes plaintesSortissent d'un cœur inconstant ?Dieux ! que vous êtes mensongère !Maudit soit qui plus vous croira !Nous verrons, volage bergère,Qui premier s'en repentira. Celui qui a gagné ma placeNe vous peut aimer tant que moi ;Et celle que j'aime vous passeDe beauté, d'amour et de bien votre amitié neuve,La mienne plus ne variera,Et puis, nous verrons à l'épreuveQui premier s'en repentira. L'isolement - Alphonse de Lamartine L'isolement est un poème célèbre d'Alphonse de Lamartine paru dans le recueil Méditations poétiques 1820. Dans ces 13 quatrains en alexandrins aux rimes croisées, il évoque son chagrin, son mal de vivre et sa mélancolie suite au décès de son amante, Julie Charles, emportée par la tuberculose. Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne,Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ;Je promène au hasard mes regards sur la plaine,Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ;Il serpente, et s'enfonce en un lointain obscur ;Là le lac immobile étend ses eaux dormantesOù l'étoile du soir se lève dans l'azur. Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres,Le crépuscule encor jette un dernier rayon ;Et le char vaporeux de la reine des ombresMonte, et blanchit déjà les bords de l'horizon. Cependant, s'élançant de la flèche gothique,Un son religieux se répand dans les airs Le voyageur s'arrête, et la cloche rustiqueAux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indifférenteN'éprouve devant eux ni charme ni transports ;Je contemple la terre ainsi qu'une ombre errante Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts. De colline en colline en vain portant ma vue,Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant,Je parcours tous les points de l'immense étendue,Et je dis Nulle part le bonheur ne m'attend. » Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ! Que le tour du soleil ou commence ou s'achève,D'un œil indifférent je le suis dans son cours ;En un ciel sombre ou pur qu'il se couche ou se lève,Qu'importe le soleil ? je n'attends rien des jours. Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière,Mes yeux verraient partout le vide et les déserts ;Je ne désire rien de tout ce qu'il éclaire,Je ne demande rien à l'immense univers. Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère,Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux,Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre,Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux ! Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire ;Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour,Et ce bien idéal que toute âme désire,Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour ! Que ne puis-je, porté sur le char de l'Aurore,Vague objet de mes vœux, m'élancer jusqu'à toi !Sur la terre d'exil pourquoi restè-je encore ?Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie,Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ;Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! Le lac - Alphonse de Lamartine Le Lac, paru dans Méditations Poétiques 1820, est un des poèmes de Lamartine les plus connus. Il évoque le Lac du Bourget où le poète avait l'habitude de rencontrer sa muse Julie Charles jusqu'à la mort de cette dernière 1817. Ce poème est un incontournable de la poésie romantique. Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,Dans la nuit éternelle emportés sans retour,Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âgesJeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierreOù tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondesSur ses pieds adorés. Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadenceTes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terreDu rivage charmé frappèrent les échos ;Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chèreLaissa tomber ces mots Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !Suspendez votre cours Laissez-nous savourer les rapides délicesDes plus beaux de nos jours ! Assez de malheureux ici-bas vous implorent,Coulez, coulez pour eux ;Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;Oubliez les heureux. Mais je demande en vain quelques moments encore,Le temps m'échappe et fuit ;Je dis à cette nuit Sois plus lente ; et l'auroreVa dissiper la nuit. Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,Hâtons-nous, jouissons !L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;Il coule, et nous passons ! » Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,S'envolent loin de nous de la même vitesseQue les jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,Ne nous les rendra plus ! éternité, néant, passé, sombres abîmes,Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?Parlez nous rendrez-vous ces extases sublimesQue vous nous ravissez ? Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,Au moins le souvenir ! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvagesQui pendent sur tes eaux. Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surfaceDe ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,Que les parfums légers de ton air embaumé,Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,Tout dise Ils ont aimé ! A George Sand VI - Alfred de Musset Porte ta vie ailleurs, ô toi qui fus ma vie ;Verse ailleurs ce trésor que j'avais pour tout chercher d'autres lieux, toi qui fus ma patrie,Va fleurir, ô soleil, ô ma belle chérie,Fais riche un autre amour et souviens-toi du mien. Laisse mon souvenir te suivre loin de France ;Qu'il parte sur ton cœur, pauvre bouquet fané,Lorsque tu l'as cueilli, j'ai connu l'Espérance,Je croyais au bonheur, et toute ma souffranceEst de l'avoir perdu sans te l'avoir donné. J'ai dit à mon cœur - Alfred de Musset J'ai dit à mon cœur, à mon faible cœur N'est-ce point assez d'aimer sa maîtresse ?Et ne vois-tu pas que changer sans cesse,C'est perdre en désirs le temps du bonheur ? Il m'a répondu Ce n'est point assez,Ce n'est point assez d'aimer sa maîtresse ;Et ne vois-tu pas que changer sans cesseNous rend doux et chers les plaisirs passés ? J'ai dit à mon cœur, à mon faible cœur N'est-ce point assez de tant de tristesse ?Et ne vois-tu pas que changer sans cesse,C'est à chaque pas trouver la douleur ? Il m'a répondu Ce n'est point assez,Ce n'est point assez de tant de tristesse ;Et ne vois-tu pas que changer sans cesseNous rend doux et chers les chagrins passés ? Mort, j'appelle de ta rigueur - François Villon Mort, j'appelle de ta rigueur,Qui m'as ma maîtresse ravie,Et n'es pas encore assouvieSi tu ne me tiens en langueur Onc puis n'eus force ni vigueur ;Mais que te nuisoit-elle en vie,Mort ? Deux étions et n'avions qu'un cœur ;S'il est mort, force est que dévie,Voire, ou que je vive sans vieComme les images, par cœur,Mort ! Las ! Mort, qui t'a fait si hardie - Charles d'Orléans Las ! Mort, qui t'a fait si hardieDe prendre la noble PrincesseQui était mon confort, ma vie,Mon bien, mon plaisir, ma richesse !Puisque tu as pris ma maîtresse,Prends-moi aussi son serviteur,Car j'aime mieux prochainementMourir que languir en tourment,En peine, souci et douleur ! Las ! de tous biens était garnieEt en droite fleur de jeunesse !Je prie à Dieu qu'il te maudie,Fausse Mort, pleine de rudesse !Si prise l'eusses en vieillesse,Ce ne fût pas si grand rigueur ;Mais prise l'as hâtivement,Et m'as laissé piteusementEn peine, souci et douleur ! Las ! je suis seul, sans compagnie !Adieu ma Dame, ma liesse !Or est notre amour departie,Non pourtant, je vous fais promesseQue de prières, à largesse,Morte vous servirai de cœur,Sans oublier aucunement ;Et vous regretterai souventEn peine, souci et douleur. Dieu, sur tout souverain Seigneur,Ordonnez, par grâce et douceur,De l'âme d'elle, tellementQu'elle ne soit pas longuementEn peine, souci et douleur ! Que me conseillez-vous, mon cœur ? - Charles d'Orléans Que me conseillez-vous, mon cœur ?Irai-je par devers la belleLui dire la peine mortelleQue souffrez pour elle en douleur ? Pour votre bien et son honneur,C'est droit que votre conseil me conseillez-vous, mon cœur,Irai-je par devers la belle ? Si pleine la sais de douceurQue trouverai merci en elle,Tôt en aurez bonne vais, n'est-ce pour le meilleur ?Que me conseillez-vous, mon cœur ? Dessein de quitter une dame qui ne le contentait que de promesse - François de Malherbe Beauté, mon beau souci, de qui l'âme incertaineA, comme l'océan, son flux et son reflux,Pensez de vous résoudre à soulager ma peine,Ou je me vais résoudre à ne la souffrir plus. Vos yeux ont des appas que j'aime et que je prise,Et qui peuvent beaucoup dessus ma liberté ;Mais pour me retenir, s'ils font cas de ma prise,Il leur faut de l'amour autant que de beauté. Quand je pense être au point que cela s'accomplisse,Quelque excuse toujours en empêche l'effet ;C'est la toile sans fin de la femme d'Ulysse,Dont l'ouvrage du soir au matin se défait. Madame, avisez-y, vous perdez votre gloireDe me l'avoir promis et vous rire de ne vous en souvient, vous manquez de mémoire,Et s'il vous en souvient, vous n'avez point de foi. J'avais toujours fait compte, aimant chose si haute,De ne m'en séparer qu'avecque le trépas ;S'il arrive autrement ce sera votre faute,De faire des serments et ne les tenir pas. Le portrait - Charles Baudelaire La Maladie et la Mort font des cendresDe tout le feu qui pour nous ces grands yeux si fervents et si tendres,De cette bouche où mon cœur se noya, De ces baisers puissants comme un dictame,De ces transports plus vifs que des rayons,Que reste-t-il ? C'est affreux, ô mon âme !Rien qu'un dessin fort pâle, aux trois crayons, Qui, comme moi, meurt dans la solitude,Et que le Temps, injurieux vieillard,Chaque jour frotte avec son aile rude… Noir assassin de la Vie et de l'Art,Tu ne tueras jamais dans ma mémoireCelle qui fut mon plaisir et ma gloire ! J'espère que cette sélection de poèmes d'amour vous a plus. Vous trouverez plus de poèmes d'amour sur la page de ce site dédiée à ce thème. Autres pages qui pourraient vous intéresser Les Plus Beaux Poèmes sur la Tristesse et la Mélancolie Cliquez ci-dessous pour découvrir un poème sélectionné au hasard. Message aux membres de Poetica Mundi ! Chers membres de la communauté Poetica Mundi, n'oubliez pas D'aller consulter les publications de la communauté poèmes, quiz, messages ;De télécharger vos nouveaux avantages livres, activités, poèmes à imprimer, etc. ;Et de m'envoyer vos demandes spéciales. Cliquez sur le lien suivant pour vous connecter ou devenir membre. 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Ce dictionnaire contient 50 citations et pensées d'auteurs célèbres français ou d'auteurs étrangers sur le thème Aimer et souffrir. Une femme qui a vraiment aimé, autant dire souffert, regarde flirter les autres avec les yeux d'une mère qui a perdu un enfant et qui voit des petites filles jouer à la poupée. Paul Bourget ; La physiologie de l'amour moderne 1889 Tout ce qui se rapporte à l'amour, même les souffrances, est divin. Jean Dutourd ; Les œuvres romanesques 1979 Le chagrin est pour tous un commun héritage Triste, on est plus aimé, et l'on aime davantage, car le cœur, en aimant, cherche à se ranimer, et qui n'a point souffert n'est point digne d'aimer. Louis Belmontet ; Les pensées, maximes et proverbes poétiques 1861 Que d'amour de vous, il est doux de souffrir. Alfred de Musset ; Poésies posthumes, À Ninon 1837 Souffrir dans son amour, c'est moins pénible que de souffrir dans sa dignité. Anne Barratin ; De vous à moi 1892 L'homme a pour destinée d'être aimé et d'aimer, de souffrir et de combattre. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 22 septembre 1868. Aimer, c'est donner à quelqu'un le droit, sinon le devoir, de nous faire souffrir. Georges Perros ; Papiers collés 1960 L'amour est la plus douce des drogues dures. Il nous parle de nous-mêmes. Il nous entraîne derrière lui. L'amour force tous les barrages. Il est seul à régner et il nous fait souffrir autant. Jean d'Ormesson ; Une fête en larmes 2005 Les femmes sont nées pour être aimées et câlinées, et non pas pour souffrir. Hypolite de Livry ; Les pensées et réflexions 1808 J'aime mieux être fouetté par le rabbin d'Alger que faire souffrir une femme ou un enfant juif. Georges Bernanos ; Nous autres Français 1939 La souffrance d'amour exalte l'homme dans la jeunesse; et, dans la vieillesse, elle le rajeunit. Mais, dans l'âge mûr, elle le supprime. Albert Guinon ; Le Figaro, le 6 mai 1911. L'homme est faculté d'amour mais il l'est aussi de souffrance. Antoine de Saint-Exupéry ; Citadelle posthume, 1948 De toutes les manières que l'homme a trouvées de se faire du mal à lui-même, l'amour est la pire. Nous souffrons toujours pour quelqu'un qui ne nous aime pas, pour quelqu'un qui nous a quittés, pour quelqu'un qui ne veut pas nous quitter. Si nous sommes célibataires, c'est que personne ne nous aime ; si nous sommes mariés, nous transformons le mariage en esclavage. C'est vraiment terrible. Paulo Coelho ; Le pèlerin de Compostelle 1987 On confond aisément amour et souffrance comme si le fait d'aimer ne pouvait être que la traversée d'un calvaire. Au bout du tunnel se trouve le comptoir de la culpabilité. On ne peut l'éviter. Tahar Ben Jelloun ; Que la blessure se ferme 2011 Souffrons ! c'est la loi sévère ; Aimons ! c'est la douce loi. Victor Hugo ; Les voix intérieures, À cette terre où l'on plie 1837 Aimer quelqu'un, c'est à la fois lui ôter le droit et lui donner la puissance de nous faire souffrir. Diane de Beausacq ; Les pensées et maximes de la vie 1883 Qui commence à aimer doit se préparer à souffrir. Chevalier de Méré ; Les maximes et sentences 1687 Nous souffrons de ne pas aimer, et tous nos attachements finissent dans la douleur. Lucien Arréat ; Les réflexions et maximes 1911 L'amour est le frère de la mort, on l'a dit et répété, mais qui a sondé encore à quelle profondeur il est le frère de la douleur ? Jules Michelet ; L'amour 1858 Aimer est peu de chose si l'amour n'est que persécutant. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 1er juin 1878. La souffrance du corps est peu de chose vis-à-vis de la souffrance du cœur. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 8 décembre 1873. Plus on aime, plus on souffre. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 26 décembre 1868. Vouloir aimer sans risquer de souffrir est une contradiction, et vouloir vivre sans aimer, c'est se tuer. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 16 juillet 1876. Il y a des hommes que fait souffrir la présence d'une femme autrefois aimée ; ils fuient ce souvenir d'un passé disparu, il leur serait douloureux de se retrouver sans nécessité devant un témoin de leur propre fragilité. Peu de femmes ont cette délicatesse. Quand elles sont assurées qu'elles ont eu affaire à un galant homme, à un homme discret, elles ne feraient point un pas pour l'éviter. Il semble que le présent ait toujours le droit de les absorber complètement. Pierre-Jules Stahl ; L'esprit des femmes et les femmes d'esprit 1855 En amour, les grands plaisirs touchent de près aux grandes douleurs. Julie de Lespinasse ; Les maximes, réflexions et pensées 1776 Aimer, c'est faire un pacte avec la douleur ; ne pas aimer, c'est vivre mort. Julie de Lespinasse ; Les maximes, réflexions et pensées 1776 L'amour ne doit pas nous servir d'alibi ni pour souffrir, ni pour faire souffrir l'autre. Jacques Salomé ; La vie à chaque instant 2012 Ne vivre que pour aimer, n'aimer que pour souffrir, ne souffrir que pour mourir, voilà le sort de l'être sensible. Hypolite de Livry ; Les pensées et réflexions 1808 Pour un amant, chercher le moyen de dire à une maîtresse qui l'aime encore Je ne t'aime plus, » sans la faire souffrir, c'est vouloir mettre en pratique la célèbre fantaisie du guillotiné par persuasion. Paul Bourget ; La physiologie de l'amour moderne 1889 La femme qui vous aura fait le plus souffrir est quelquefois une femme que vous n'aurez jamais aimée. Paul Bourget ; La physiologie de l'amour moderne 1889
Cœur détruit L’amour ma quitté Dans les profondeurs de mon cœur Une brèche c'est crée Tu en à profité pour t'échapper sans peur Doucement tu as filé dans le vent Emportant avec toi tout mon bonheur d'aimer Sans état d'âme ni regret tu t'éloigne lentement Dans l'espace tu te disperse sans te retourner Tu ne m’as pas laissé le choix. J'ai laissé échapper mon cœur Il part à la dérive il à peur Normal il souffre il à mal Il voudrait ne plus ressentir cette douleur. Cette chose là est impossible je le sais bien Car il contient tout l'amour que j'ai pour toi Je ne sais plus quoi faire car il est partagé en deux Mon cœur à deux faces Il voudrait le rassurer Lui dire que ça vie n'est pas fini Mais le cœur malheureux ne veut rien entendre Il c'est que pour lui ça vie est terminer. J’ai juste besoin d’un peu d’attention Te parler seul à seul quelques instants Te dire ce que je pense, prononcer ton nom… M’ouvrir à toi, t’avouer mes sentiments Te dire à quel point tu comptes pour moi Mon besoin de te protéger, de rester à tes côtés Je ne veux que ton bonheur, resté avec toi Dans ces bons moments et dans les pires, pour l’éternité… Toi mon ange, ma douce, ma reine… Si envoutante, hypnotique, si sereine… Belle comme le coucher de soleil Si belle, parfaite, tu n’as pas ta pareille. Aujourd'hui je suis pensive Tout aller bien puis d'un coup tout c'est fini A notre relation tu à mis fin je ne comprend pas se qui m'arrive Sans aucune explication je n'avais plus de vie Tu es parti sans un mot Alors comment comprendre à qui la faute Depuis se jour j'ai n'ai plus une minute de repos Je me pose mille et une questions sans avoir de réponse Pourtant tout aller pour le mieux enfin je le pensé Hier encore tu me disais je t'aime Mais aujourd'hui de toi je n'ai plus rien comme si j'avais jamais existé Tu ne me donne aucun nouvelle tu ne me réponds plus au téléphone M'a tu déjà rayer de ta vie comme un vieux jouer qui ne t'amusé plus La j'avoue que je sus un peut perdu. Vivre sans toi au départ était trop dur à supporter Mes larmes coulées sans cesse sans que je ne puisse les arrêter Aujourd'hui ton absence me coute encore beaucoup Le temps passe et je ne t'oubli pas et je ne t'oublierais jamais Mes larmes coulent moins mais mon coeur saigne toujours autant. Le temps passe mais ne guéri pas les blessures de mon coeur Cela vas faire un an que tu à disparut de ma vie Mais tu reste toujours présent dans mon coeur. Toi, mon éternel absent, Toi mon ami, mon frère. Mon âme s'envole loin de cette terre Pour s'enrouler autour de ton souvenir. Toi, mon printemps Qui est venu mourir. Il n'y a plus de mots Pour habiter le vide de mes silences. Il ne reste que de vagues échos Pour habiller mon existence. Et pourtant, tu es là, Toujours là et à jamais, Toi, le seul, l'unique, Mon ange de lumière... Depuis cette date je suis devenu un clown triste. Je souris juste pour faire plaisir mais ça ne reste Qu'une façade. J'avance en douceur je pense que c'est par peur . Peur de faire souffrir ceux qui m’entoure. Bon j'arrive à rire parfois Je ne le cache pas je ne suis pas toujours entrain de pleurer je rassure. Mais je reste avec cette étrange sensation celle de ressentir Que je ne suis qu’une coquille vide. En une journée je perdu Tous mes repères, toutes mes envies, en une journée j'ai vue ma vie changé, elle c'est envolé en fumée. J'ai pas comprit ce qui m’arrivé. Tout s'écroule en fait c'est simple c'est comme si j’étais à l'abri Dans ma maison et que d'un seul coup les murs tomber et que Je me retrouve là planté sans comprendre ce qui m’arrivé. Quand sera venu le jour de mon grand départ Je deviendrais ton ange céleste Pour t'aider à ne pas pleurer, mais à sourire Pour te rappeler les bons moments que nous aurions passé De là-haut je surveillerais que tu continue d'aimais Que tes moments de doutes ne sois qu'éphémère Que dans le cœur d'une autre tu retrouve joie de vivre Car mon plus grand bonheur sera de continuer à te voir heureux Et si un jour tu ressens de la tristesse en pensant à moi Lève tes yeux vers le ciel et regarde les étoiles Parmi une d'entre elle une sera la plus belle Ce sera moi qui te sourira et qui te diras combien je t’aime. Mais j'avoue que je ne t'ai pas retenu non plus Maintenant mon cœur restera sans joie Il battra normalement sans superflu. Un jour elle à rencontré son bel ange. Qui par la suite est devenu son bel amour. Aujourd'hui il se trouve parmi mes chers nuages. C'est souvent en silence que je pense à lui et cela durera toujours. Chaque jour sont absence se fait ressentir mais je ne le dit pas. Je fais croire que je l'ai oublié. Mais non il reste là à guider mes pas. Comment pourrais-je ne plus pensée à cet être merveilleux Que j'ai rencontré. C'est vrai que je ne parle plus De lui par choix du sourire des miens. Mais en secret je rêve au jour ou enfin je pourrais lui prendre la main. Souvent je voudrais que tout ceci ne soit qu'un mauvais cauchemar. Mais chaque matin la réalité me rattrape.
Souffrir, Mourir, SourireJe ne vais pas bienJ’ai envie de me faire malJ’ai envie d’aller bienEst-ce vraiment un mal ?Je n’ai plus envie de souffrirMais pour cela je pense mourirMourir pour ne plus souffrirSouffrir de vous voir sourireVous qui souriezA longueur de journéeVoyez-vous a quel point j’ai malMal de ne pas etre normalNormal de ne vouloir que mourirPour enfin être libre, ne plus souffrirSouffrir d’être toujours rabaisséeSouffrir de ne pouvoir remonterRemonter cette pente raideQui chaque jour me rend plus laideLaide de n’avoir jamais appris à sourireSourire, pour vous c’est si facileFacile de ne pas paraître tant fragileFragile, moi je le suis trop je le saisJ’ai mal depuis que tu m’as quittéQuitté pour dieu sait quelle raisonMais dieu existe-t-il vraiment ?La bible a-t-elle tout à fait raison ?Ais-je le droit de souffrir autant ?Autant de ne plus t’avoir auprès de moiMoi qui avait vraiment besoin de toiMoi qui ne vivait qu’à travers toiMais depuis que tu es parti sans moiPlus rien ne vas, j’ai mal, je pleureEt petit à petit, je sais que je meursTout le monde me promet le bonheurMais pour moi, tout ça n’est qu’un leurreJ’ai besoin de ta présence à mes côtésToi qui disais tant m’aimer tu m’as quittéTu es mort un soir de pluieDepuis, jamais plus je n’ai sourisToi qui me manque tellementTu étais mon esperanceL’esperance d’aller mieux, vraimentMais aujourd’hui je n’ai plus aucune chanceTu m’as quitté pour la voix des angesParti ou personne ne te dérangeEst-ce que tu penses encore à moi ?Est-ce que tu rêves encore de moi ?Tu es toujours là, tu me hantes à jamaisJ’aimerais tellement envie de venir vers toiMais je n’aurais jamais, au grand jamaisLe courage de faire un geste comme çaMais je me fais mal, je sais que je ne devrais pasMais c’est plus fort que moi, je n’y arrive pasJe n’arrive pas à m’arrêter mon sang couleJe sens la souffrance me traverser le brasEt je sens le chemin de mon sang qui couleJe mets une bande pour que ça s’arrêteJe me sens vraiment très bêteMais je ne sais plus me contrôlerMais je ne sais plus m’arrêterJ’ai tellement de peine à vivre sans toiPourquoi es-tu parti sans moi ?J’ai besoin d’aide, je le saisIl faut que j’appelle quelqu’unJe ne veux plus souffrir maisJe ne trouve personne, pas unJe vous en supplie aidez-moiJe crie mais personne ne me répondMon amour, mon cœur, j’ai besoin de toiJe crie mais de ma gorge ne sors aucun sonJe n’ai plus envie de vivre, je veux mourirMourir pour ne plus jamais souffrirSouffrir de ne pas t’avoir à mes côtésToi qui disais tant m’aimer toi qui m’as quittéEssayer de sourire me fait souffrirSouffrir ne me donne pas envie de sourireQue faire pour revivre, moi qui aimait la vie ?J’aimais la vie seulement quand tu en faisais partiMaintenant je suis comme dans un long couloirEt dans ce couloir je ne vois rien, il fait noirJe n’en vois pas le bout, je ne vois plus rienSeulement mon désespoir et mon chagrinJe ne veux plus souffrir, je veux juste mourirMourir pour réapprendre à sourire…Syllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Souffrir, Mourir, Sourireje=ne=vais=pas=bien 5jai=en=vie=de=me=fai=re=mal 8jai=en=vie=dal=ler=bien 6est=ce=vrai=ment=un=mal 6je=nai=plus=en=vie=de=souf=frir 8mais=pour=ce=la=je=pen=se=mou=rir 9mou=rir=pour=ne=plus=souf=frir 7souf=frir=de=vous=voir=sou=ri=re 8vous=qui=sou=riez 4a=lon=gueur=de=jour=née 6voyez=vous=a=quel=point=jai=mal 7mal=de=ne=pas=e=tre=nor=mal 8nor=mal=de=ne=vou=loir=que=mou=rir 9pour=en=fin=ê=tre=li=bre=ne=plus=souf=frir 11souf=frir=dê=tre=tou=jours=ra=bais=sée 9souf=frir=de=ne=pou=voir=re=mon=ter 9re=mon=ter=cet=te=pen=te=rai=de 9qui=cha=que=jour=me=rend=plus=lai=de 9lai=de=de=na=voir=ja=mais=ap=pris=à=sou=rire 12sou=ri=re=pour=vous=cest=si=fa=ci=le 10fa=ci=le=de=ne=pas=pa=raî=tre=tant=fra=gile 12fra=gi=le=moi=je=le=suis=trop=je=le=sais 11jai=mal=de=puis=que=tu=mas=quit=té 9quit=té=pour=dieu=sait=quel=le=rai=son 9mais=dieu=exis=te=til=vrai=ment 7la=bi=ble=a=tel=le=tout=à=fait=rai=son 11ais=je=le=droit=de=souf=frir=au=tant 9au=tant=de=ne=plus=ta=voir=au=près=de=moi 11moi=qui=a=vait=vrai=ment=be=soin=de=toi 10moi=qui=ne=vi=vait=quà=tra=vers=toi 9mais=de=puis=que=tu=es=par=ti=sans=moi 10plus=rien=ne=vas=jai=mal=je=pleu=re 9et=pe=tit=à=pe=tit=je=sais=que=je=meurs 11tout=le=mon=de=me=pro=met=le=bon=heur 10mais=pour=moi=tout=ça=nest=quun=leu=rre 9jai=be=soin=de=ta=pré=sen=ce=à=mes=cô=tés 12toi=qui=di=sais=tant=mai=mer=tu=mas=quit=té 11tu=es=mort=un=soir=de=pluie 7de=puis=ja=mais=plus=je=nai=sou=ris 9toi=qui=me=man=que=tel=le=ment 8tu=é=tais=mon=es=pe=ran=ce 8les=pe=ran=ce=dal=ler=mieux=vrai=ment 9mais=au=jourd=hui=je=nai=plus=au=cu=ne=chan=ce 12tu=mas=quit=té=pour=la=voix=des=an=ges 10par=ti=ou=per=son=ne=ne=te=dé=ran=ge 11est=ce=que=tu=pen=ses=en=co=re=à=moi 11est=ce=que=tu=rê=ves=en=co=re=de=moi 11tu=es=tou=jours=là=tu=me=han=tes=à=ja=mais 12jaime=rais=tel=le=ment=en=vie=de=ve=nir=vers=toi 12mais=je=nau=rais=ja=mais=au=grand=ja=mais 10le=cou=ra=ge=de=faire=un=ges=te=com=me=ça 12mais=je=me=fais=mal=je=sais=que=je=ne=de=vrais=pas 13mais=cest=plus=fort=que=moi=je=ny=ar=ri=ve=pas 12je=nar=ri=ve=pas=à=mar=rê=ter=mon=sang=coule 12je=sens=la=souf=fran=ce=me=tra=ver=ser=le=bras 12et=je=sens=le=che=min=de=mon=sang=qui=cou=le 12je=mets=u=ne=ban=de=pour=que=ça=sar=rê=te 12je=me=sens=vrai=ment=très=bê=te 8mais=je=ne=sais=plus=me=con=trô=ler 9mais=je=ne=sais=plus=mar=rê=ter 8jai=tel=le=ment=de=pei=ne=à=vi=vre=sans=toi 12pour=quoi=es=tu=par=ti=sans=moi 8jai=be=soin=dai=de=je=le=sais 8il=faut=que=jap=pel=le=quel=quun 8je=ne=veux=plus=souf=frir=mais 7je=ne=trou=ve=per=son=ne=pas=un 9je=vous=en=sup=plie=ai=dez=moi 8je=crie=mais=per=son=ne=ne=me=ré=pond 10mon=a=mour=mon=cœur=jai=be=soin=de=toi 10je=crie=mais=de=ma=gor=ge=ne=sors=au=cun=son 12je=nai=plus=en=vie=de=vi=vre=je=veux=mou=rir 12mou=rir=pour=ne=plus=ja=mais=souf=frir 9souf=frir=de=ne=pas=ta=voir=à=mes=cô=tés 11toi=qui=di=sais=tant=mai=mer=toi=qui=mas=quit=té 12es=say=er=de=sou=ri=re=me=fait=souf=frir 11souf=frir=ne=me=don=ne=pas=en=vie=de=sou=rire 12que=faire=pour=re=vi=vre=moi=qui=ai=mait=la=vie 12jai=mais=la=vie=seule=ment=quand=tu=en=fai=sais=par=ti 13main=te=nant=je=suis=com=me=dans=un=long=cou=loir 12et=dans=ce=cou=loir=je=ne=vois=rien=il=fait=noir 12je=nen=vois=pas=le=bout=je=ne=vois=plus=rien 11seu=le=ment=mon=dé=ses=poir=et=mon=cha=grin 11je=ne=veux=plus=souf=frir=je=veux=jus=te=mou=rir 12mou=rir=pour=ré=ap=pren=dre=à=sou=ri=re 11Phonétique Souffrir, Mourir, Sourireʒə nə vε pa bjɛ̃ʒε ɑ̃vi də mə fεʁə malʒε ɑ̃vi dale bjɛ̃ε sə vʁεmɑ̃ œ̃ mal ?ʒə nε plysz- ɑ̃vi də sufʁiʁmε puʁ səla ʒə pɑ̃sə muʁiʁmuʁiʁ puʁ nə plys sufʁiʁsufʁiʁ də vu vwaʁ suʁiʁəvu ki suʁjea lɔ̃ɡœʁ də ʒuʁnevwaje vuz- a kεl pwɛ̃ ʒε malmal də nə pa εtʁə nɔʁmalnɔʁmal də nə vulwaʁ kə muʁiʁpuʁ ɑ̃fɛ̃ εtʁə libʁə, nə plys sufʁiʁsufʁiʁ dεtʁə tuʒuʁ ʁabεsesufʁiʁ də nə puvwaʁ ʁəmɔ̃teʁəmɔ̃te sεtə pɑ̃tə ʁεdəki ʃakə ʒuʁ mə ʁɑ̃ plys lεdəlεdə də navwaʁ ʒamεz- apʁiz- a suʁiʁəsuʁiʁə, puʁ vu sε si fasiləfasilə də nə pa paʁεtʁə tɑ̃ fʁaʒiləfʁaʒilə, mwa ʒə lə sɥi tʁo ʒə lə sεʒε mal dəpɥi kə ty ma kitekite puʁ djø sε kεllə ʁεzɔ̃mε djø εɡzistə til vʁεmɑ̃ ?la biblə a tεllə tut- a fε ʁεzɔ̃ ?εs ʒə lə dʁwa də sufʁiʁ otɑ̃ ?otɑ̃ də nə plys tavwaʁ opʁε də mwamwa ki avε vʁεmɑ̃ bəzwɛ̃ də twamwa ki nə vivε ka tʁavεʁ twamε dəpɥi kə ty ε paʁti sɑ̃ mwaplys ʁjɛ̃ nə va, ʒε mal, ʒə plœʁəe pəti a pəti, ʒə sε kə ʒə mœʁtu lə mɔ̃də mə pʁɔmε lə bɔnœʁmε puʁ mwa, tu sa nε kœ̃ ləʁəʒε bəzwɛ̃ də ta pʁezɑ̃sə a mε kotetwa ki dizε tɑ̃ mεme ty ma kitety ε mɔʁ œ̃ swaʁ də plɥidəpɥi, ʒamε plys ʒə nε suʁitwa ki mə mɑ̃kə tεllmɑ̃ty etε mɔ̃n- εspəʁɑ̃səlεspəʁɑ̃sə dale mjø, vʁεmɑ̃mεz- oʒuʁdɥi ʒə nε plysz- okynə ʃɑ̃səty ma kite puʁ la vwa dεz- ɑ̃ʒəpaʁti u pεʁsɔnə nə tə deʁɑ̃ʒəε sə kə ty pɑ̃səz- ɑ̃kɔʁə a mwa ?ε sə kə ty ʁεvəz- ɑ̃kɔʁə də mwa ?ty ε tuʒuʁ la, ty mə-ɑ̃təz- a ʒamεʒεməʁε tεllmɑ̃ ɑ̃vi də vəniʁ vεʁ twamε ʒə noʁε ʒamε, o ɡʁɑ̃ ʒamεlə kuʁaʒə də fεʁə œ̃ ʒεstə kɔmə samε ʒə mə fε mal, ʒə sε kə ʒə nə dəvʁε pamε sε plys fɔʁ kə mwa, ʒə ni aʁivə paʒə naʁivə pa a maʁεte mɔ̃ sɑ̃ kuləʒə sɑ̃s la sufʁɑ̃sə mə tʁavεʁse lə bʁae ʒə sɑ̃s lə ʃəmɛ̃ də mɔ̃ sɑ̃ ki kuləʒə mεtz- ynə bɑ̃də puʁ kə sa saʁεtəʒə mə sɑ̃s vʁεmɑ̃ tʁε bεtəmε ʒə nə sε plys mə kɔ̃tʁolemε ʒə nə sε plys maʁεteʒε tεllmɑ̃ də pεnə a vivʁə sɑ̃ twapuʁkwa ε ty paʁti sɑ̃ mwa ?ʒε bəzwɛ̃ dεdə, ʒə lə sεil fo kə ʒapεllə kεlkœ̃ʒə nə vø plys sufʁiʁ mεʒə nə tʁuvə pεʁsɔnə, pa œ̃ʒə vuz- ɑ̃ sypli εde mwaʒə kʁi mε pεʁsɔnə nə mə ʁepɔ̃mɔ̃n- amuʁ, mɔ̃ kœʁ, ʒε bəzwɛ̃ də twaʒə kʁi mε də ma ɡɔʁʒə nə sɔʁz- okœ̃ sɔ̃ʒə nε plysz- ɑ̃vi də vivʁə, ʒə vø muʁiʁmuʁiʁ puʁ nə plys ʒamε sufʁiʁsufʁiʁ də nə pa tavwaʁ a mε kotetwa ki dizε tɑ̃ mεme twa ki ma kiteesεje də suʁiʁə mə fε sufʁiʁsufʁiʁ nə mə dɔnə pa ɑ̃vi də suʁiʁəkə fεʁə puʁ ʁəvivʁə, mwa ki εmε la vi ?ʒεmε la vi sələmɑ̃ kɑ̃ ty ɑ̃ fəzε paʁtimɛ̃tənɑ̃ ʒə sɥi kɔmə dɑ̃z- œ̃ lɔ̃ kulwaʁe dɑ̃ sə kulwaʁ ʒə nə vwa ʁjɛ̃, il fε nwaʁʒə nɑ̃ vwa pa lə bu, ʒə nə vwa plys ʁjɛ̃sələmɑ̃ mɔ̃ dezεspwaʁ e mɔ̃ ʃaɡʁɛ̃ʒə nə vø plys sufʁiʁ, ʒə vø ʒystə muʁiʁmuʁiʁ puʁ ʁeapʁɑ̃dʁə a suʁiʁə…Syllabes Phonétique Souffrir, Mourir, Sourireʒə=nə=vε=pa=bj=ɛ̃ 6ʒε=ɑ̃=vi=də=mə=fε=ʁə=mal 8ʒε=ɑ̃=vi=da=le=bj=ɛ̃ 7ε=sə=vʁε=mɑ̃=œ̃=mal 6ʒə=nε=plys=zɑ̃=vi=də=su=fʁiʁ 8mε=puʁ=sə=laʒə=pɑ̃=sə=mu=ʁiʁ 8mu=ʁiʁ=puʁ=nə=plys=su=fʁiʁ 7su=fʁiʁ=də=vu=vwaʁ=su=ʁi=ʁə 8vu=ki=su=ʁj=e 5a=lɔ̃=ɡœ=ʁə=də=ʒuʁ=ne 7vwa=je=vu=za=kεl=pwɛ̃=ʒε=mal 8mal=də=nə=pa=ε=tʁə=nɔʁ=mal 8nɔʁ=mal=də=nə=vu=lwaʁkə=mu=ʁiʁ 8puʁ=ɑ̃=fɛ̃εtʁə=li=bʁə=nə=plys=su=fʁiʁ 9su=fʁiʁ=dε=tʁə=tu=ʒuʁ=ʁa=bεse 8su=fʁiʁ=də=nə=pu=vwaʁʁə=mɔ̃=te 8ʁə=mɔ̃=te=sε=tə=pɑ̃=tə=ʁεdə 8ki=ʃa=kə=ʒuʁ=mə=ʁɑ̃=plys=lεdə 8lεdə=də=na=vwaʁ=ʒa=mε=za=pʁi=za=suʁiʁə 10su=ʁiʁə=puʁ=vu=sε=si=fa=silə 8fa=silə=də=nə=pa=pa=ʁε=tʁə=tɑ̃=fʁaʒilə 10fʁa=ʒilə=mwaʒə=lə=sɥi=tʁo=ʒə=lə=sε 9ʒε=mal=dəp=ɥikə=ty=ma=ki=te 8ki=te=puʁ=djø=sε=kεllə=ʁε=zɔ̃ 8mε=djø=εɡ=zis=tə=til=vʁε=mɑ̃ 8la=bibləa=tεllə=tu=ta=fε=ʁε=zɔ̃ 8εsə=ʒə=lə=dʁwa=də=su=fʁiʁ=o=tɑ̃ 9o=tɑ̃də=nə=plys=ta=vwaʁ=o=pʁε=də=mwa 10mwa=ki=a=vε=vʁε=mɑ̃bə=zwɛ̃=də=twa 9mwa=kinə=vi=vε=ka=tʁa=vεʁ=twa 8mε=dəp=ɥikə=ty=ε=paʁ=ti=sɑ̃=mwa 9plys=ʁjɛ̃nə=va=ʒε=mal=ʒə=plœ=ʁə 8e=pə=tiapə=ti=ʒə=sε=kə=ʒə=mœʁ 9tulə=mɔ̃=də=mə=pʁɔ=mε=lə=bɔ=nœʁ 9mε=puʁ=mwa=tu=sa=nε=kœ̃=ləʁə 8ʒεbə=zwɛ̃=də=ta=pʁe=zɑ̃=səa=mε=ko=te 10twa=ki=di=zε=tɑ̃=mε=me=ty=ma=ki=te 11ty=ε=mɔʁ=œ̃=swaʁ=də=plɥi 7dəp=ɥi=ʒa=mε=plys=ʒə=nε=su=ʁi 9twa=ki=mə=mɑ̃=kə=tεl=lmɑ̃ 7ty=e=tε=mɔ̃=nεs=pə=ʁɑ̃=sə 8lεspə=ʁɑ̃=sə=da=le=mjø=vʁε=mɑ̃ 8mε=zo=ʒuʁ=dɥiʒə=nε=plys=zo=ky=nə=ʃɑ̃sə 10ty=ma=ki=te=puʁ=la=vwa=dε=zɑ̃ʒə 9paʁ=ti=u=pεʁ=sɔnə=nə=tə=de=ʁɑ̃ʒə 9εsə=kə=ty=pɑ̃sə=zɑ̃=kɔ=ʁəa=mwa 8εsə=kə=ty=ʁεvə=zɑ̃=kɔ=ʁə=də=mwa 9ty=ε=tu=ʒuʁ=la=ty=mə-ɑ̃tə=za=ʒa=mε 11ʒεmə=ʁε=tεl=lmɑ̃=ɑ̃=vi=də=və=niʁ=vεʁ=twa 11mεʒə=no=ʁε=ʒa=mε=o=ɡʁɑ̃=ʒa=mε 9lə=ku=ʁaʒə=də=fεʁəœ̃=ʒεs=tə=kɔ=mə=sa 10mεʒə=mə=fε=mal=ʒə=sε=kə=ʒə=nə=də=vʁε=pa 12mε=sε=plys=fɔʁkə=mwa=ʒə=ni=a=ʁi=və=pa 11ʒə=na=ʁivə=pa=a=ma=ʁε=te=mɔ̃=sɑ̃kulə 10ʒə=sɑ̃s=la=su=fʁɑ̃sə=mə=tʁa=vεʁ=se=lə=bʁa 11e=ʒə=sɑ̃s=lə=ʃə=mɛ̃də=mɔ̃=sɑ̃=ki=kulə 10ʒə=mεt=zynə=bɑ̃də=puʁ=kə=sa=saʁεtə 8ʒə=mə=sɑ̃s=vʁε=mɑ̃=tʁε=bε=tə 8mεʒə=nə=sε=plys=mə=kɔ̃=tʁo=le 8mε=ʒə=nə=sε=plys=ma=ʁε=te 8ʒε=tεl=lmɑ̃də=pεnəa=vi=vʁə=sɑ̃=twa 8puʁ=kwa=ε=ty=paʁ=ti=sɑ̃=mwa 8ʒε=bə=zwɛ̃=dε=də=ʒə=lə=sε 8il=fo=kə=ʒa=pεl=lə=kεl=kœ̃ 8ʒə=nə=vø=plys=su=fʁiʁ=mε 7ʒə=nə=tʁuvə=pεʁ=sɔ=nə=pa=œ̃ 8ʒə=vu=zɑ̃=sy=pli=ε=de=mwa 8ʒə=kʁi=mε=pεʁ=sɔnə=nə=mə=ʁe=pɔ̃ 9mɔ̃=na=muʁ=mɔ̃=kœʁ=ʒεbə=zwɛ̃=də=twa 9ʒə=kʁi=mεdə=ma=ɡɔʁ=ʒə=nə=sɔʁ=zo=kœ̃=sɔ̃ 11ʒə=nε=plys=zɑ̃=vidə=vi=vʁə=ʒə=vø=mu=ʁiʁ 11mu=ʁiʁ=puʁnə=plys=ʒa=mε=su=fʁiʁ 8su=fʁiʁ=də=nə=pa=ta=vwaʁ=a=mε=ko=te 11twa=ki=di=zε=tɑ̃=mε=me=twa=ki=ma=ki=te 12e=sε=je=də=suʁiʁə=mə=fε=su=fʁiʁ 9su=fʁiʁ=nə=mə=dɔnə=pa=ɑ̃=vi=də=suʁiʁə 10kə=fεʁə=puʁ=ʁə=vivʁə=mwa=ki=ε=mε=la=vi 11ʒε=mε=la=visə=lə=mɑ̃=kɑ̃=ty=ɑ̃=fə=zε=paʁ=ti 13mɛ̃tə=nɑ̃=ʒə=sɥi=kɔ=mə=dɑ̃=zœ̃=lɔ̃=ku=lwaʁ 11e=dɑ̃sə=ku=lwaʁ=ʒə=nə=vwa=ʁjɛ̃=il=fε=nwaʁ 11ʒə=nɑ̃=vwapalə=bu=ʒə=nə=vwa=plys=ʁjɛ̃ 9sə=lə=mɑ̃=mɔ̃=de=zεs=pwaʁ=e=mɔ̃=ʃa=ɡʁɛ̃ 11ʒə=nə=vø=plys=su=fʁiʁ=ʒə=vø=ʒys=tə=mu=ʁiʁ 12mu=ʁiʁ=puʁ=ʁe=a=pʁɑ̃dʁə=a=suʁiʁə 8 Commentaires Sur La Poesie14/10/2004 0000Carpe Diemil est magnifique ce poème, s’il raconte un boiut de ta vie jen suis sincerement desolé, sinceres amities15/10/2004 0000Angel-Of-The-DarkOn peut presque dire ca comme ca Poème EspoirPublié le 14/10/2004 1333 L'écrit contient 632 mots qui sont répartis dans 1 strophes. Poete Angel-Of-The-Dark Récompense Texte des commentateurs
poeme je te quitte pour ne plus souffrir